Bon aloooors, dites-moi ? Comment, trouvez-vous le nouveau design du blog ? J’ai essayé de faire quelque chose de plus sobre, qui permet une navigation plus fluide et plus agréable pour vous. J’avais tellement hâte que vous le découvriez. Vite, vite vos retours.
Quoi de mieux que de commencer à écrire on the blog fraîchement rénové sur mon coup de coeur beauté de cette nouvelle année de ma marque chouchou, Benefit. Il s’agit du blush ensoleillé nommé GALifornia. Un nom très atypique qui en dit long sur ce produit.
GALifornia
Un joli jeu de mots qui mélange Gal qui signifie fille et Ifornia, qui nous fait évidemment penser à la Californiaaaa, booo. On imagine tout de suite l’ambiance du soleil de la Californie dans les années 70′
Côté packaging ?
Énorme coup de coeur pour ma part. Comme dans leur habitude Benefit reste dans le thème rétro. On y voit, une fille avec des lunettes « mouche » (protection au maximum 😎), avec un joli teint doré fraîchement rosé. Toute de suite, on s’imagine sous le soleil de la Californie au bord de l’océan avec notre teint illuminé par le soleil. (et laaa c’est le moment de déprimer, l’été est loin!).
Comme tous les blushs Benefit, il est livré avec un pinceau arrondi bleu pastel et un miroir à l’intérieur de la boîte du blush. Toujours pratique, même si je ne l’utilise pas.
Un joli nacre doré ?
Quand on ouvre la jolie boîte qui nous a donné des envies d’évasion, on y découvre en plus d’un délicat parfum de vanille et de pamplemousse rose, un soleil gravé dans les tons rosés avec un joli nacre doré.
Idéal en cette saison hivernale pour nous assurer un teint illuminé et un effet bonne mine.
Il est très facile a s’estomper et se fond très bien sur la peau, on ne se retrouve pas avec une grosse trace rose au milieu de la joue, n’aillait crainte. Le résultat est très naturel.
Où le trouver ?
Il est disponible sur le site de Sephora au prix de 35,50 euros ou sur le site officiel de Benefit au prix de 34,00 euros
Et évidemment,
Prenez soin de vous et aimez-vous quels que soient vos problèmes.
